La genèse de cette histoire, c’est un peu comme toutes les histoires ; au commencement, nous avons parlé, un verbe, un son. En pensant aller ou ne point aller sur le promontoire des rêves d’où s’étendent la joie et l’espérance, nous avons écouté et senti la solidité du monde, la fluidité des sens, la pérennité des âges et l’éphémère de toutes choses. Puis un soir est venu, un matin, un autre jour, cela dans l’attente muette d’une œuvre opérative. C’est alors qu’une voix subtile, comme un (...)