Les jours poudreux de nos pas sabots ont côtoyé les rivages de la belle méditerranée, d’un côté de beau bleu et de l’autre de béton délavé où l’air du large a inspiré des constructions irrespirables. La mer était sage, si fraîche que ses flots étaient des pointes de plumes, au bord des pins avec le goût du vent, le grand vent se brisant sur les dunes. Les longues vagues de bleu tendre faisait briller sur le sable blond les étoiles populaires du soir dans notre rêve de voyage. Une autre (...)