C’est reparti, balancés sur le fil de la route, rêveurs d’une chorégraphie moins aventureuse, prêts à tout cependant. C’est reparti sur les grèves solidaires, nous laissant à nos pas sans soucis, tristesse et gaieté ensemble confondus. Les paysages par leur beauté et sans cesse attisent à nouveau le voyage que jamais le temps n’use. Une route sans personne, un temps de chien à ne pas mettre un chat dehors. Les vents jouent aux vagues, se prêtent à tout noyer dans les eaux de pluies. Il y (...)