La Roulotte de Casimir

Voyager portes fermées

Après quelques menus travaux dont l’Hercule est notre Titan de Casimir

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et deux trois galipettes sur un cheval de fer, le jour, comme celui d’avant s’est éteint pour le plus grand plaisir des yeux.

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Puis dans une virée au coin d’une vielle citée, des portes tout à fait étranges sont apparues.

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Des portes peut-être dimensionnelles pour qui cherche la clé de l’interprétation des symboles gravés dans le fer.

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Des portes de lumière peut-être, encore faut il pouvoir déchiffrer les signes comme les candidats à l’école polytechnique pourraient déchiffrer celui qui leur est soumis, gravé sur le porche d’entrée, où le X est associée à la formule SKOH, symbole chimique du souffre et de l’hydrate de potassium voulant dire sous un certain angle, souffre et potasse pour trouver l’X.

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Là, ce sont de grandes portes fermant un édifice religieux standard, romain et catho où certains motifs, reconnus apocryphes par ladite autorité s’inscrivent sur ces portes comme ceux qui laissent penser à la nef construite par Jason destinée à sa périlleuse conquête de la Toison d’Or, synonyme alchimique de la Pierre Philosophale(JPG) Là un phénix, l’oiseau renaissant de ses cendres, autre emblème de la pierre philosophale, ou alors le Bénou, oiseau sacré égyptien, à moins que ce ne fut le Simorgh de l’antique culture perse dont la vision de l’Oiseau dans toute sa splendeur inexprimable correspondait à la libération harmonique de la forme, magnifiée par(JPG) l’intégration de la circularité essentielle. Ou bien Anqa, Garuda, la Lyre peut-être, celle que la reine de Sabah envoie à Salomon.... Ou encore l’oiseau du mental ou plutôt du supra mental dans le Taoïsme, l’oiseau dialectique des gnostiques, ou peut-être tout cela à la fois, c’est selon.

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Le colimaçon, limaçon, l’escargot tout chaud de la chanson, la spirale, le vortex, tout ce qui pourrait symboliser l’énergie, le force, l’électricité, la matière invisible en somme, celle qui fait tourner l’ordinateur quantique du précédant article.

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Là le Serpent des Grands Mystères, indubitablement, aspect féminin du Logo, Épouse de Shiva, Isis, Adonis, Tonantzin, Rhéa, Marie ou, pour mieux dire, Ram-Io, Cybèle, Opis, Der, Flore, Paule, Io, Akka, Grande Mère du sanscrit, (JPG) déesse des Lha, Lares ou esprits d’ici-bas, Mère angoissée de Huitzilopochtli, l’Ak ou Déesse Blanche des Turcs, la Minerve Chalcidique des Mystères Initiatiques, Aka-Bolzub du temple lunaire de Chichen-Itza au Yucatan. Ici une roue comme la roue du Samsara qui tourne. Par le côté droit monte Anubis : c’est l’Évolution. Par le côté gauche descend Typhon : c’est l’Involution. Un candélabre à sept branches, comme sept planètes, sept jours de la semaine, sept couleurs de l’arc en ciel, sept chakras, sept sens avec la conscience et l’intuition. Une clé de vie, Isis et Osiris unie, mercure et souffre, cœur et esprit,

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Une étoile, Sirius certainement, la plus proche, berger de la ceinture d’Orion tirant son troupeau d’astres. Rien de très conventionnel pour une église que tout cela... (JPG)

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